Vincent T.
Après-vente
- Porsche Cayenne
- Achat vérifié le 06/02/2024
229, rue de la Convention
75015 Paris
Paris, le 3 mars 2024
A l’attention du Responsable des ateliers Porsche Levallois Perret
A l’attention du Directeur du Centre Porsche Levallois Perret
A l’attention du Directeur des Centres Porsche Paris/Île de France
A l’attention du Service Clients Porsche France
Objet : Réclamations client (Cayenne GF-122-DY)
Madame, Monsieur,
Les ateliers de Porsche Paris 16 étant fermés pour travaux, j’ai contacté ceux de Porsche Levallois Perret le 4 décembre dernier, et on m’a donné un rendez-vous pour le 5/2/2024 seulement (!) pour le premier entretien de mon véhicule Cayenne et pour la permutation de mes pneus (été/hiver)(il était temps!).
Déjà, je trouve assez sidérant qu’il faille attendre deux mois pour obtenir un rendez-vous !
Le lendemain, Benoît, le commercial qui m’avait très bien accueilli la veille m’appelle à 17h02 (donc tard), alors que je quittais mon travail (tôt) pour pouvoir récupérer mon véhicule, pour me dire que ce dernier n’était pas prêt et qu’il me fallait ne venir que le lendemain.
Le mercredi 7/2, j’arrive en soirée et Benoît m’indique que l’entretien a été réalisé, que le traitement du cuir abîmé sur le siège arrière (avant l’achat du véhicule, originaire de Porsche Levallois Perret) n’avait pas été concluant et qu’il me faudrait revenir, et surtout qu’aux ateliers, on m’avait bien éraflé la portière arrière !!! Bien que gêné de cette situation, Benoît m’a demandé de m’acquitter des 1686.71 euros, i.e. sans me faire le moindre geste commercial, et alors que j’avais déposé une voiture impeccable je suis reparti avec un véhicule abîmé par vos équipes !
J’étais franchement accablé et hors de moi.
Tout cela est évidemment inacceptable. Acheter un Cayenne c’est a priori non seulement faire l’acquisition d’un véhicule normalement haut de gamme, mais c’est aussi bénéficier du service Porsche qui se devrait d’être irréprochable. Alors, certes, l’erreur est humaine, mais en l’espèce il m’apparaît urgent que certaines de vos procédures ateliers soient améliorées ou dûment appliquées, ou que votre personnel soit qualifié, aidé ou alors remplacé ?
Là, naturellement, je reste plus que sur ma faim et j’attends maintenant un vrai geste commercial à la hauteur du préjudice subi, et donc bien au-delà de la simple remise en l’état de ma portière qui devrait intervenir courant du mois de mars.
Dans l’attente de vous lire dans les meilleurs délais, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations respectueuses.
Vincent Thieuzard